Récapitulation des coureurs du mois : Retour sur l’année 2019
La nouvelle année arrive à grands pas et 2019 est passée à la vitesse de l’éclair! Tout au long de l’année, nous vous avons présenté des coureurs et des marcheurs exceptionnels : vous avez lu leur histoire, vous connaissez leurs itinéraires de course préférés, vous savez ce qui les motive et ce qui les passionne au sujet de la course. Des coureurs professionnels aux débutants… Faisons un retour sur les coureurs du mois de la Fin de semaine des courses Tamarack d’Ottawa.
Qui vous a le plus inspiré? Dites-le-nous sur Facebook, Instragram ou Twitter.
Krista Duchene
« Le Marathon d’Ottawa Banque Scotia était une deuxième chance pour moi, après une performance décevante au Marathon de Boston de 2019 à cause de la chaude température et du taux d’humidité élevé. Je m’attendais à ce que les conditions soient les mêmes à Ottawa. Je me suis donc préparée en faisant des entraînements d’acclimatation à la chaleur. Ma forme physique était bonne, mais c’est ma capacité à supporter les conditions qui m’ont permis de terminer au deuxième rang chez les Canadiens et au septième rang global. »
Ian Fraser
« Parfois, nous oublions à quel point le parcours de notre marathon est magnifique. Il est incroyable. Pas vrai? Nous voulons miser sur ce fait. Nous voulons que les résidents, qui courent ici, soient immensément fiers et qu’ils le crient sur les toits pour attirer les gens de l’extérieur. Je suis né et j’ai grandi à Ottawa. C’est ma ville. Et c’est un endroit extraordinaire. J’en suis fier et je veux que d’autres gens le découvrent. »
Lindsay Khan
« Je savais que mon temps était bien inférieur à celui nécessaire pour se qualifier. Même si plusieurs pépins peuvent survenir dans les 7 derniers kilomètres, j’avais assez d’avance. Je ne pouvais pas m’empêcher de sourire. Je me souviens juste d’avoir franchi la ligne d’arrivée, d’avoir levé les bras et d’avoir crié… Je ne devais pas avoir l’air cohérente à ce point, j’étais juste trop heureuse et épuisée. »
Dan Pak
« Je ne suis pas une personne ordinaire ayant un trouble cardiaque et qui a besoin d’une endoprothèse ou d’une angioplastie. Certaines personnes ne savent pas que la fibrillation auriculaire n’a rien à voir avec un mode de vie malsain. C’est en fait un problème électrique. »
Hannah Manning
« La vue magnifique sur Ottawa et le virage devant le Musée des beaux-arts du Canada est à la fois confortable et stimulante. Cela s’avère utile pendant la Fin de semaine des courses Tamarack d’Ottawa. C’est quand je sais exactement à quelle distance se trouve la ligne d’arrivée que je me dis : je suis chez moi. »
Everic Lauzier
« Les humains sont le prédateur suprême en raison de leur capacité à surpasser toutes les proies et du fait que leur endurance est principalement attribuable à l’efficacité extrême de leurs pieds. La prochaine fois que vous voyez un enfant jouer et courir pieds nus, prenez le temps d’analyser à quel point cela semble facile et naturel (voire instinctif) pour eux. C’est exactement comment se sentent les coureurs pieds nus : une pure joie infantile et la liberté qui y est associée. »
Liz Laurin
« Vous êtes chaleureusement accueilli, on prend soin de vous et vous vous sentez apprécié. Et vous êtes fier de vous. Si j’ai une mauvaise journée, lorsque j’ai de la difficulté à sortir du lit, lorsque je me sens submergée… Je mets ma médaille. Elle me rappelle ce que j’ai accompli, que je peux encore faire des choses. Ce ne sera peut-être pas aujourd’hui, peut-être pas non plus la semaine prochaine, mais je peux y arriver et je le ferai encore. »
Jesse Blondin
« Depuis trois ans, notre famille installe une station de sucettes glacées, sur la promenade Colonel-By, près de Clegg. Mes enfants sont maintenant très doués pour remettre les sucettes aux coureurs. Ils ont trouvé la meilleure façon de le faire, même si les participants courent vite. Ils gardent un pied sur le bord du trottoir, ils tendent le bras avec la sucette puis font un contact visuel avec le coureur. »
Hieu Nguyen
« En étant urbaniste, j’adore courir dans les quartiers, voir ce qu’il y a de nouveau, ce qui se passe dans les rues », précise-t-elle. « À mon avis, on peut voir la ville d’une meilleure perspective lorsqu’on la parcourt à pied. Je sais que certaines personnes aiment courir dans les boisés ou aiment courir seules, loin de tout. Pour ma part, j’aime voir ce qui se passe dans les rues. »
Geoff Riggs
« C’est tellement inspirant de voir un participant terminer l’épreuve de 10K en 28 minutes la journée avant ton marathon. C’est également motivant de voir des gens qui ne courent pas régulièrement s’inscrire à l’événement et profiter de chaque moment. Il s’adresse vraiment à toute la communauté! »
Ashley Kokelj
« Je me suis mise à la course il y a seulement deux ans, soit depuis que j’habite à New Edinburgh. Je fais la plupart de mes séances de course sur sentiers au parc de la Gatineau. Par contre, mon trajet préféré est de courir sur Beechwood jusqu’à Birch puis d’emprunter la promenade Sir-George-Étienne-Cartier. À partir du sentier de l’Aviation, il est possible de se rendre au bord de l’eau, sur le sentier de la rivière des Outaouais. »
Jane Spiteri
« Lorsque tu cours seul, c’est facile d’arrêter. Lorsque tu cours avec un groupe, la dynamique te pousse à continuer. Et le fait de savoir que des gens t’attendent t’incite à sortir du lit. Il y aura toujours des personnes plus rapides que toi, ce qui est une bonne chose. Elles peuvent t’aider à garder le rythme et à te pousser un peu plus. »
Terry SanCartier
« Le premier marathon reste à jamais gravé dans notre esprit. Mon objectif était 3:45 et c’est exactement le temps que j’ai fait. En franchissant la ligne d’arrivée, j’étais tellement heureux d’avoir accompli un tel exploit. Je n’avais jamais rien fait de tel. »