« Je viens de m’inscrire au marathon ! » – le guide de survie

Ça y est.

Que vous l’ayez fait seul, avec un ami ou une amie ou comme équipe, vous avez réservé votre dossard pour le Marathon d’Ottawa Banque Scotia, le 29 mai 2016.

Comment vous sentez-vous ? Pompé à bloc ? Un peu craintif ? Ne stressez pas trop, parce qu’il reste encore un peu plus de 7 mois avant le jour de la course et beaucoup de temps pour l’entraînement.

Que vous vous apprêtiez à couvrir la distance pour la première fois ou que vous soyez un coureur d’expérience qui cherche à établir un nouveau record personnel, nous avons compilé une liste de conseils pour vous aider à vous mettre dans la meilleure forme possible pour la course à l’arrivée du printemps.

Trouvez votre motivation

Il est difficile de s’engager à faire une course qui est encore si loin dans le temps, et c’est pourquoi vous avez besoin de trouver une source de motivation qui va vous coller à la peau.

Ce pourrait être d’améliorer votre santé et votre forme physique, de rayer un but de la liste de rêves, ou d’atteindre ce meilleur chrono personnel qu’on vient de mentionner. Vos raisons pourraient être différentes de celles de n’importe qui d’autre ; l’important, c’est qu’elles aient un sens pour vous.

Allez revoir quelques-uns de nos anciens articles sur la façon de rester motivé.

Une autre façon de rester sur la voie, c’est de trouver une cause qui vous tient à cœur et de vous inscrire au Défi caritatif Banque Scotia. Recueillir des fonds tout en vous entraînant est une excellente façon de vous tenir responsable vis-à-vis votre objectif ; demandez seulement aux coureurs qui ont ramassé plus de 800 000 $ pour les œuvres caritatives locales et nationales l’an passé !

Faire un plan

Maintenant que vous avez votre ou vos raison(s), vous avez besoin d’un plan à suivre. Il existe de nombreux plans d’entraînement pour le marathon qui ne sont qu’à une recherche Google et à quelques clics de distance, mais il peut être difficile de faire un choix.

Pour qu’il soit un peu plus facile de faire votre choix, vous devez tenir compte de votre objectif (distance, vitesse ou les deux), de votre niveau relatif de forme physique et du temps dont vous disposez. Quel que soit le plan que vous finissez par choisir, plusieurs vont vous faire courir :

  • Des courses de distance pour l’endurance
  • Des courses ‘tempo’ pour la vitesse et la cadence
  • Des collines pour la puissance
  • Des ‘intervalles’ pour la vitesse et la versatilité
  • De l’entraînement polyvalent

Consultez quelques-uns des programme et des calendriers d’entraînement sur des sites populaires comme Runner’s World ou Cool Running pour avoir une idée de ce que vous devez faire.

Une autre option serait de vous procurer un plan sur mesure et une évaluation de forme physique d’une organisation locale comme Peak Centre, au sujet de laquelle nous ferons bientôt un article.

Mettez-vous y

C’est la partie où vous lacez vraiment vos chaussures et que vous prenez le dehors. Il y a beaucoup de kilomètres entre vous et la ligne de départ ; alors, commencez à vous y attaquer comme vous mangeriez un éléphant, une bouchée à la fois.

Si la course en solo ne vous attire pas vraiment (particulièrement pour ces longues courses du dimanche matin), trouvez-vous un groupe d’entraînement local avec qui courir. Ça peut faire des merveilles pour vous garder responsable, et rendre ces courses plus amusantes. Allez voir le club Courez Ottawa, the Running Room ou le Ottawa Running Club pour trouver un groupe près de chez vous.

Une autre excellente façon de rester motivé, c’est de vous inscrire à d’autres courses chemin faisant. La course est une incroyable activité sociale et faire des courses est une excellente façon de rencontrer de nouveaux amis et partenaires d’entraînement. Consultez le calendrier des courses de Courez Ottawa pour voir les courses à venir (comme notre 5K gratuit, le 5 décembre).

Tout est dans les détails

S’entraîner pour un marathon, ça ne concerne pas seulement les kilomètres que vous accumulez sur vos chaussures. Il s’agit aussi de maîtriser votre régime alimentaire et éviter les blessures.

Quand vous investissez autant de temps et d’énergie dans l’exercice et l’entraînement, vous avec besoin de vous assurer mettre une partie de cette énergie à penser à comment vous mangez. Vous pouvez lire cet article de la nutritionniste locale Elizabeth Mansfield sur comment commencer avec une nutrition adapté à la course.

Les blessures de course peuvent être une source de frustration. Mais, avec un temps adéquat de repos et de récupération de votre entraînement, la plupart de celles-ci peuvent être évitées. Lisez cet article de la massothérapeute sportive Paula Burchat sur comment tirer le meilleur parti de l’entraînement d’hiver tout en demeurant libre de blessures.

Prêts pour un 42,2?

Il se peut que nous soyons un peu partiaux, mais compléter un marathon est l’une des choses les plus satisfaisantes à rayer du la liste des choses à faire à tout prix. Si vous suivez ces conseils, vous saurez de quoi nous parlons le 29 mai.

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